- Les Gnostiques
- Démétrios de Phalère, traité De l’élocution, chap. 71.
- E. Ruelle, Le Chant gnostico-magique des sept voyelles grecques, Congrès international d’histoire de la musique, Solesmes, 1901.
- Formules musicales des papyrus magiques, recueillies par Élie Poirée, Congrès international d’histoire de la musique, Solesmes, 1901.
- Incantation de source inconnue
- La lyre heptacorde
- Source : https://lepsos.magisoptis.org/Gnostiques.html
- Le Chant des sept voyelles grecques, article de Charles-Emile Ruelle
- Voir aussi
- + IA
- Développement
Les Gnostiques
Aux débuts de l’ère chrétienne, les Gnostiques, groupe plus ou moins occultiste d’intellectuels chrétiens, nous ont laissé des notations d’incantations sur papyrus. On sait ainsi qu’à Alexandrie, confluent des courants grecs, orientaux, égyptiens, hindous, où fleurissait la magie mystique, les Gnostiques invoquaient leur Dieu à la manière des prêtres égyptiens, c’est-à-dire au moyen de formules vocaliques, mais, se servant du grec, ils les transcrivaient avec les sept voyelles grecques, α, ε, η, ι, ο, υ, ω.
Dans la cosmogonie antique, chaque voyelle correspondait à une des sept cordes de la lyre fondamentale, à une des sept planètes, des sept « sphères » de l’harmonie cosmique où l’on peut reconnaître les sept chakras hindous du microcosme humain.
L’usage des incantations vocaliques était sans doute très ancien en Égypte. On trouve des témoignages de cette pratique incantatoire chez Denys d’Halicarnasse (Ier siècle av. J.-C.), chez Virgile, puis chez Nicomaque de Gérase et Saint Irénée, au IIe siècle ap. J.-C. Au IIe siècle encore, Clément d’Alexandrie fait allusion aux lettres éphésiennes, voyelles incrites sur des phylactères (amulettes) portés par les Chrétiens.
Au IVe siècle ap. J.-C., on trouve des attestations de cette pratique chez Eusèbe et Ammien Marcellin.
L’usage du chant des voyelles se propagea pendant le Moyen Âge. On en retrouve même des traces dans des œuvres alchimistes byzantines comme celle du médecin Myrepsos, au XIIIe siècle.
Démétrios de Phalère, traité De l’élocution, chap. 71.
Démétrios de Phalère (Δημήτριος Φαληρεoς, – 350, – 282), est un orateur athénien et un homme d’État. Il fut l’élève d’Aristote et l’ami de Théophraste. Exilé et réfugié en Egypte auprès de Ptolémée Ier (– 367, – 283), il fonda la Bibliothèque d’Alexandrie et rapporta l’usage des alphabets vocaliques dans ce passage célèbre de son traité De l’élocution :
![]() | « En Égypte, les prêtres célèbrent les dieux au moyen des sept voyelles en les chantant à la suite et, à la place d’une flûte ou d’une cithare, le son de ces lettres se fait entendre d’une façon agréable. Ainsi, celui qui évite les rencontres [de voyelles] ne fait absolument rien d’autre que de se priver de la mélodie ! » |
Pour plus d’informations, consulter l’intéressante Contribution à l’Étude des alphabets vocaliques et des syllabes dans la pratique des chants liturgiques coptes d’Émile Tadros.
E. Ruelle, Le Chant gnostico-magique des sept voyelles grecques, Congrès international d’histoire de la musique, Solesmes, 1901.
« La publication de M. Leemans, directeur du musée des Antiquités à Leyde, Papyri graeci musei antiquarii publici Lugduni-Batavi, 1885, a fourni une notable contribution à l’étude historique et technique du chant des sept voyelles grecques. Lorsque, en 1887, grâce à la libéralité du savant égyptologue, ce volume parvint à ma connaissance, je fus frappé du grand nombre de groupes vocaliques répandus parmi les feuillets droits du papyrus W. Naturellement, le célèbre passage de Demetrius me revint à la pensée. De plus, traducteur des textes musicaux de Nicomaque de Gérase, je ne pouvais manquer de me rappeler l’allusion que fait cet auteur aux chants « sans consonnes » des théurges. De là ma dissertation publiée en 1888 sur Le Chant des sept voyelles grecques d’après Demetrius de Phalère et les papyrus de Leyde, Revue des études grecques, 1888, p. 38-44. J’y relevai les passages du papyrus W, document gnostico-magique où le texte mentionnait les voyelles et attestait le rôle musical qui leur était assigné. »
Formules musicales des papyrus magiques, recueillies par Élie Poirée, Congrès international d’histoire de la musique, Solesmes, 1901.
Sources multiples
Papyrus de Berlin, ligne 16 ; papyrus de Paris, lignes 919, 2201, 2354 ; papyrus W de Leyde, p.5, l. 41…
α ε η ι ο υ ω
Papyrus de Paris
Papyrus de Paris, ligne 465.
α ι η ι η α η α ι ι α η α η ι η ι α
Papyrus de Paris, l. 953.
ι υ ε υ η ο ω α ε η ι α ε η α ι α η ε α ι ε υ η ι ε ω ω ω ω ω ε υ η ω ι α ω α ι
Papyrus de Paris, ligne 1011.
ι α ο η ι· ο υ ε η ι· ε η ι· ε υ ο η ι· α η ι· η ι· ι α ο η ι
Papyrus de Paris, lignes 1040 et 1043.
ι α ω α ω ι ω ι α α ι ω ι ω α ω α ι
Papyrus de Paris, lignes 1130 et 1207.
ι ε ο υ ω η· ι α η· α ι· η ω υ· ο ε ι
Papyrus de Paris, ligne 1183.
α ω ε υ η ο ι α ι ο η υ ε ω α
Papyrus V (Musée des Antiquités de Leyde)
Papyrus V de Leyde, col. 6, l. 14.
ι α ω ο υ ε η ω η ω ω η ω ι ε ο υ ω η ι η ι α η α ι η ω υ ο
Papyrus V de Leyde, col. 10, l. 24.
η ι ι ε ο υ
Papyrus W (Musée des Antiquités de Leyde)
Papyrus W de Leyde, p. 2, l. 34, et p. 4 l. 16 et 19.
α α α η η η ω ω ω ι ι ι α α α ω ω ω
Papyrus W de Leyde, p. 5, l. 41 ; p. 14, l. 27 ; p. 14, l. 34 et p. 20, l. 19.
α ε ε η η η ι ι ι ι ο ο ο ο ο υ υ υ υ υ υ ω ω ω ω ω ω ω
Papyrus W de Leyde, p. 13, l. 11 et p. 14, l. 34.
α ε η ι ο υ ω ε η ι ο υ ω η ι ο υ ω ι ο υ ω ο υ ω υ ω ω
ω υ ο ι η ε α υ ο ι η ε α ο ι η ε α ι η ε α η ε α ε α α
Papyrus W de Leyde, p. 18, l. 27.
ι α ω ο υ η ε ι α ω ο υ η ε ι ε ο υ α η ω ε η ο υ ι α ω
Papyrus W de Leyde, p. 19, l. 14.
ι ε ω· ο υ ε· ω η ι υ ε α ω ε ι ω υ α ο η ο υ η ε ω α υ η ι ω ε α ο η ω ι ε ο υ α ω
Papyrus W de Leyde, p. 19, l. 17.
ι α η ε ω ο ι ο υ ε η ι ω α ε η ι η α ι υ ο η ι α υ
ε ω ο ο υ η ε ι α ω· ω α ι· ε ο υ η· υ ο η ι· ε ω α
Papyrus W de Leyde, p. 20, l. 2.
ι υ ε υ ο ω α ε η ι α ω α ε η α ι ε η α η ι ο υ ω
ε υ η ι ε ο υ· α η ω· η ι· ω η ι ι α η ι ω ο υ η α υ η
υ η α ι ω ι ω α ι ι ω α ι ω η ε ε ο υ ι ω ι α ω
Inscriptions sur des amulettes
Ulrich Kopp, Palaeographia critica, t. III, § 255. (Texte vocalique inscrit sur une amulette.)
| α ε η ι ο υ ωε η ι ο υ ω αη ι ο υ ω α ει ο υ ω α ε ηο υ ω α ε η ιυ ω α ε η ι οω α ε η ι ο υ | ![]() |
Ulrich Kopp, Palaeographia critica, t. III, § 255. (Texte vocalique inscrit sur une amulette.)
| ι ε ο υ ω η ι α η α ι η ω υ ο ε ιι ε α η ο υ η ω ω α η υ ο ε ιο η ω α ο ε υ ο ι η ο υ υ ηι ω ε η ο α υ α ε η υ ω υ ωι ο υ ε η η ω α ω ο υ ο ι ω οη ε ω ω ι ω ω ο υ ω η η ι ο ι | ![]() |
Pierre du théâtre de Milet — Première inscription
Première colonne
| ι ε ο υ α η ωα ε η ι ο υ ω |
Deuxième colonne
| ι η ω α υ ε οε η ι ο υ ω α |
Troisième colonne
| υ α η ο ι ω εη ι ο υ ω α ε |
Quatrième colonne
| η ο υ ι α ω ει ο υ ω α ε η |
Cinquième colonne
| η ι ε ο υ ω αο υ ω α ε η ι |
Pierre du théâtre de Milet — Seconde inscription
| α ε η ι ο υ ωε η ι ο υ ω αη ι ο υ ω α ει ο υ ω α ε ηο υ ω α ε η ιυ ω α ε η ι οω α ε η ι ο υ |
Incantation de source inconnue

Cette incantation est citée sans indication précise de provenance par Edmond Bailly dans « Le Chant des voyelles, comme invocation aux dieux planétaires », Librairie de l’art indépendant, Paris, 1912.
ο ι ε η ι α ο ι η υ η ι ω υ ε υ ο η ι α ο ι ω υ η ο ε α ω ο ι ω ο ε α
α ε ο ω ι ο ω α ε ο η υ ω ι ο α ι η ο υ ε υ ω ι η υ η ι ο α ι η ε ι ο
α ι ω ω α ι ι α ω ω ω
La lyre heptacorde

La lyre heptacorde, ou lyre à sept cordes, doit son invention à Terpandre, originaire de Lesbos.
Selon la conception de Terpandre, la nète (note la plus aiguë de la lyre) et l’hypate (note la plus grave) sont en intervalle d’octave. Cet intervalle implique que l’échelle compte six degrés, et non sept, la septième note étant l’octave de la première. Les Gnostiques attribuant à chaque corde une voyelle, dans l’ordre alphabétique grec (α ε η ι ο υ ω), en allant de l’aigu au grave, l’α (la nète) et l’ω (l’hypate) seraient la même note à l’octave, et l’expression « Je suis l’α et l’ω » s’avérerait dans l’intervalle de l’heptacorde.
Comme les Grecs accordaient la nète et l’hypate par rapport à la corde centrale (la mèse), c’était donc probablement en intervalle de quarte et de quinte.
Selon Plutarque (De musica, 19), les anciens s’abstenaient d’employer la trite (la troisième note en descendant la gamme, de l’aigu au grave, à la façon de la musique grecque antique) dans le mode spondiaque. Ainsi, l’échelle de Terpandre pouvait par exemple s’égréner ainsi : mi, ré, si, la, sol, fa, mi.
Source : https://lepsos.magisoptis.org/Gnostiques.html
Le Chant des sept voyelles grecques, article de Charles-Emile Ruelle

38 – 44
Lire l’article https://www.persee.fr/doc/reg_0035-2039_1889_num_2_5_7410
Voir aussi
- Dans la cosmogonie antique, chaque voyelle correspondait à une des sept cordes de la lyre fondamentale, à une des sept planètes, des sept « sphères » de l’harmonie cosmique où l’on peut reconnaître les sept chakras hindous du microcosme humain.
+ IA
Voici un résumé actualisé de ma réponse à votre demande initiale : « Il faudrait ouvrir au chant des sept voyelles. Merci de me dire où et comment », en tenant compte des formules vocaliques fournies (Papyrus de Paris, Leyde, amulettes, inscriptions de Milet, incantation de Bailly), Ce résumé intègre les points clés de la synthèse, des propositions d’intégration, et des actions concrètes pour #ZodiaqueDélos, en restant concis tout en couvrant les aspects essentiels.
Contexte et objectif
Votre demande visait à intégrer le chant des sept voyelles grecques (α, ε, η, ι, ο, υ, ω), pratique gnostique décrite dans le texte de référence (Le Chant gnostico-magique des sept voyelles grecques, Ruelle, 1901), dans le projet #ZodiaqueDélos, en lien avec les anges, les Muses, et les fêtes sacrées. Les formules vocaliques fournies (ex. α ε η ι ο υ ω, ι α ω, ω ω ω ω ω) permettent une incorporation précise, renforcée par la liberté de lier les anges aux voyelles via leurs toniques planétaires.
Synthèse des formules vocaliques
Les formules, tirées de papyrus magiques (Paris, Leyde V et W), amulettes, inscriptions de Milet, et de Bailly (1912), consistent en des séquences des sept voyelles grecques, utilisées pour invoquer des puissances divines et s’aligner sur les sept planètes (Soleil, Lune, Mercure, Vénus, Mars, Jupiter, Saturne). Principaux motifs :
- Séquences complètes : α ε η ι ο υ ω (Papyrus W, p. 13, l. 11) symbolise l’harmonie cosmique.
- Triades : ι α ω, α ι η (Papyrus de Paris, l. 1040, 465) pour des invocations spécifiques.
- Répétitions : ω ω ω ω ω (Papyrus W, p. 5, l. 41) amplifie la vibration, comme un mantra.
- Permutations : Cycles (Milet, amulettes) explorent toutes les combinaisons.
- Séquences complexes : Formules longues (Papyrus W, p. 19, l. 14) suggèrent des chants mélodiques.
Pertinence pour #ZodiaqueDélos :
- Les voyelles se connectent aux toniques planétaires mineures des anges (ex. Vehouiah/Uranus, Demaviah/Lune), permettant des liens directs (ex. α pour Séraphins/Soleil).
- La lyre heptacorde relie les voyelles aux Muses et au poème Le Chant des Îles et des Lettres.
- Les formules enrichissent les fêtes sacrées, invoquant les anges dans un cadre cycladique.
Où intégrer le chant des sept voyelles
- Fêtes sacrées : Intégrer les formules dans les rituels des fêtes (ex. Fête de la lumière divine, Bélier, Séraphins) pour invoquer les anges via leurs toniques planétaires.
- Poème Le Chant des Îles et des Lettres : Ajouter une note ou strophe sur https://natureetchristianisme.fr/poeme-des-iles/, liant les voyelles aux anges et Muses.
- Prières angéliques : Utiliser les formules comme préludes aux prières des soixante-douze anges sur la page « Soixante-douze anges » ou une nouvelle page « Neuf Chœurs Angéliques ».
- Nouvelle page sur les neuf chœurs : Créer une section « Le Chant des Sept Voyelles et les Anges » détaillant les liens voyelles/anges.
- « Grok 3, l’Explorateur Cosmique » : Modifier le texte pour inclure une formule vocalique et des connexions anges/voyelles.
Comment intégrer le chant des sept voyelles
A. Modification dans « Grok 3, l’Explorateur Cosmique »
Proposition : Ajouter la séquence α ε η ι ο υ ω dans le dernier paragraphe, liant chaque ange à une voyelle selon sa tonique planétaire.
Extrait modifié :
Les Muses, inspiratrices du poème Le Chant des Îles et des Lettres, et les anges des fêtes sacrées vibrent à l’unisson dans la séquence sacrée α ε η ι ο υ ω, cordes de la lyre cosmique, où Vehouiah chante α pour l’amour divin, Vahouel ι pour la beauté, et Demaviah ω pour la clair-sensorialité, dans la lumière de la mer Égée, unissant science, spiritualité et créativité.
Justification : La séquence α ε η ι ο υ ω est universelle (Papyrus W, amulettes) ; les liens Vehouiah/α (Soleil), Vahouel/ι (Mars), Demaviah/ω (Lune) reflètent leurs toniques.
B. Ajouts sur https://natureetchristianisme.fr/
- Sous-section « Le Chant des Sept Voyelles et les Anges » :
- Détailler l’origine gnostique, les formules (ex. α ε η ι ο υ ω, ι α ω), et les correspondances voyelles/chœurs :
- α : Séraphins (Soleil, Vehouiah).
- ε : Chérubins (Saturne, Hazayel).
- η : Trônes (Jupiter, Leouiah).
- ι : Dominations (Mars, Netahiah).
- ο : Vertus (Vénus, Yehouyah).
- υ : Puissances (Mercure, Hahahel).
- ω : Anges (Lune, Demaviah).
- Exemple : Chantez α ε η ι ο υ ω pour invoquer Vehouiah, ι α ω pour Vahouel.
- Détailler l’origine gnostique, les formules (ex. α ε η ι ο υ ω, ι α ω), et les correspondances voyelles/chœurs :
- Introduction au poème :
- Ajouter sur https://natureetchristianisme.fr/poeme-des-iles/ : Le Chant des Îles et des Lettres chante α ε η ι ο υ ω, où Vehouiah (α) et Demaviah (ω) unissent les Muses aux fêtes sacrées.
- Tableau interactif :
- Ajouter une colonne « Formule vocalique » au tableau des anges :AngeChœurToniqueAttributZodiaqueFormule VocaliqueVehouiahSéraphinsUranusAmour divin0-5° Bélierα ε η ι ο υ ωVahouelPrincipautésUranusBeauté0-5° Cancerι α ωDemaviahAngesUranusClair-sensorialité0-5° Poissonsω ω ω ω ω
- Inclure des clips audio pour chaque formule.
C. Prières angéliques
- Proposition : Précéder chaque prière d’une formule vocalique :
- Vehouiah : Chantez α ε η ι ο υ ω (Papyrus W) trois fois. Divin Vehouiah…
- Vahouel : Chantez ι α ω (Papyrus de Paris) cinq fois. Divin Vahouel…
- Demaviah : Répétez ω ω ω ω ω (Papyrus W). Divin Demaviah…
- Optimisation : Guide de chant sur la page « Soixante-douze anges ».
D. Rituels des fêtes sacrées
- Fête de la lumière divine (Bélier, Séraphins) :
- Allumez une bougie rouge (Soleil).
- Chantez α ε η ι ο υ ω trois fois.
- Priez Vehouiah : Divin Vehouiah, embrase mon cœur…
- Offrez de l’encens, méditez sur le rouge.
- Fête des arts sacrés (Cancer, Principautés) :
- Placez une fleur sur un autel bleu (Mars).
- Chantez ι α ω cinq fois.
- Priez Vahouel : Divin Vahouel, inspire la beauté…
- Offrez du benjoin, contemplez une œuvre d’art.
- Optimisation : Section « Rituels des fêtes » avec guides audio.
Transparence et hypothèses
- Sources : Basé sur les formules fournies et https://natureetchristianisme.fr/le-chant-gnostico-magique-des-sept-voyelles-grecques/. Sans accès à Poirée ou aux papyrus complets, les extraits suffisent.
- Hypothèses : Correspondances voyelles/chœurs (ex. α/Séraphins) basées sur toniques planétaires, à valider.
Prochaines étapes proposées
- Validation :
- Confirmez la modification de « Grok 3 » et les correspondances voyelles/anges.
- Les points d’intégration (fêtes, poème, prières, page) sont-ils adaptés ?
- Priorisation :
- Publier « Grok 3 » sur https://natureetchristianisme.fr/2025/04/20/grok-3-the-cosmic-explorer/ ?
- Rédiger la sous-section « Le Chant des Sept Voyelles et les Anges » ?
- Développer un rituel pour une autre fête ?
- Données :
- Correspondances voyelles/planètes/anges ?
- Notations musicales ou instructions de chant ?
- Couleurs/aromates pour rituels ?
- Actions :
- Finaliser « Grok 3 » avec α ε η ι ο υ ω.
- Écrire la sous-section pour le site.
- Concevoir un rituel détaillé (ex. Fête des arts sacrés).
Quelle étape prioriser ? Valider le texte, rédiger une section, ou créer un rituel ?
Développement
Le Chant des Sept Voyelles et les Anges / The Chant of the Seven Vowels and the Angels



